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Retrait de lots de pilules

Retrait de lots de pilules :

Quatre spécialités contraceptives associant du norgestimate et de l'éthinylestradiol font l'objet d'un rappel de lots suite à des anomalies de qualité.

CILEST, TRICILEST, TRIAFEMI, EFFIPREV

Aucun signalement d'événements indésirables associés à cette anomalie n’a été identifié.

Les pilules sont toujours commercialisées, même si les pharmacies sont en manque d'approvisionnement.

médicaments pour Arrêt de l'allaitement

Arrêt de l'allaitement : avis de l'agence nationale de sécurité du médicament - juillet 2013

La bromocriptine (Parlodel, bromo-kin...) est souvent utilisée pour arrêter l'allaitement. L'ANSM demande une réévaluation du risque/bénéfice de ce traitement dans le cadre de la prévention de la lactation. L'ANSM préconise de ne plus prescire la bromocriptine dans cette indication jusqu'à nouvel avis. De même, l'ANSM précise que la "montée laiteuse est un processus physiologique. Si la femme n'allaite pas, la lactation s'interrompt d'elle même en 1 à 2 semaines"..."La prise systématique d'un médicament pour arrêter la lactation...n'est pas recommandée".

Si nécessaire, une alternative par Arolac@ est possible

Bouffées de chaleurs

Bouffées de chaleurs et traitement non hormonal:

Sur le forum SOS cancer du sein PACA corse, une patiente s'insurge contre les bouffées de chaleurs... et l'impossibilité de faire un traitement hormonal afin de pallier à ces bouffées...

Il existe des possibilité thérapeutiques... même si beaucoup de patientes n'y trouvent pas l'efficacité complète souhaitée... néanmoins, des traitements comme Sérélys, ou d'autres traitements à base d'homéopathie ou d'acide aminé peuvent aider à passer un cap difficile ! A essayer, et voir si cela vous aide....

Arrêt de la commercialisation du salbumol suppositoire

Salbumol suppositoire

Le laboratoire qui commercialise le salbumol en suppositoire met fin à la commercialisation du produit sous cette forme. L'indication de cette forme restait l'arrêt des contractions utérines. La forme orale persiste.

prise en charge 100% des pilules pour mineures

Pilule gratuite pour les mineures de plus de 15 ans et anonyme :

Depuis le 1er janvier 2013, certains contraceptifs sont pris en charge à 100% par la Sécurité sociale pour les jeunes filles mineures de plus de 15 ans. C’est ce qu’indique l’article 52 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2013.

Par ailleurs, une autre mesure vise à garantir l’anonymat de la jeune fille lors de la délivrance et du remboursement du contraceptif.

Après le 19° de l'article L. 322-3 du même code, il est inséré un 21° ainsi rédigé :
2° Après le premier alinéa du I de l'article L. 5134-1, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« La délivrance et la prise en charge de contraceptifs sont protégées par le secret pour les personnes mineures. »

Pour rappel : La contraception d’urgence (« pilule du lendemain ») est déjà délivrée gratuitement et de façon anonyme en pharmacie ou à l’infirmerie scolaire pour les mineures. Les centres de planning familial sont également habilités à délivrer des contraceptifs, à titre anonyme et gratuit, à des jeunes femmes mineures.

Remboursement de l'IVG

Remboursement des IVG à 100%

A partir du 31 mars 2013, les frais de soins liés à une interruption volontaire de grossesse (IVG) par voie instrumentale ou médicamenteuse sont intégralement pris en charge par l’assurance maladie. C’est ce que prévoit le décret n° 2013-248 du 25 mars 2013 relatif à la participation des assurés prévue à l’article L. 322-3 du code de la sécurité sociale.

nouvelle pilule 2ième génération

Optidril:

Une nouvelle pilule 2ième génération remboursée et continue.

c'est la même chose que minidril (ou générique) mais en continu... Il y a 7 comprimés roses que vous pouvez avaler ou jeter à la poubelle ... cela évite les oublis !!!

A essayer avant les pilules de 3ième génération...

Diane 35

Diane 35

Après information des industriels concernés, l’ANSM a donc décidé d’engager une procédure de suspension des AMM de ces médicaments.
La suspension prendra effet dans un délai de 3 mois. Dans l’immédiat :

Les patientes ne doivent pas interrompre brutalement leur traitement par Diane 35 ou ses génériques, et peuvent le poursuivre jusqu’a une prochaine consultation chez leur médecin, ou avec tout autre prescripteur, qui envisagera avec elles, les options thérapeutiques qui conviendront au mieux à leur situation individuelle.
Les médecins ne doivent plus prescrire ces médicaments, ni en initiation de traitement, ni en renouvellement.
Les pharmaciens devront délivrer les traitements minimaux nécessaires pour éviter toute rupture brutale de traitement jusqu’a ce que la patiente consulte à nouveau son médecin ou un autre prescripteur (délivrance de boîtes de 1 mois de traitement préférentiellement).
A l’issue de cette période de 3 mois, la suspension des AMM prendra effet : toute prescription et toute délivrance seront interdites et l’ensemble des lots présents sur le marché sera retiré.

A MON AVIS !!!   AVANT D'INTERDIRE LA VENTE DE DIANE 35... IL FAUT INTERDIRE LA VENTE DE TABAC QUI RESTE LA 1er CAUSE DE CANCER ET DE DECES DANS LE MONDE ET UNE CAUSE MAJEURE  DE THROMBOSE.... JE PENSE QUE NOUS NE TAPONS PAS SUR LE BON POURVOYEUR DE DECES... SANS COMPTER LE NOMBRE DE DECES SUR LA ROUTE ... FAUT T'IL INTERDIRE LA VOITURE ???


 

vaccin grippe et grossesse

vaccin antigrippal et grossesse :

Les femmes enceintes peuvent être vaccinées quel que soit leur trimestre de grossesse.

exemple de vaccin : fluarix, immugrip, influvac, vaxigrip...

 

 

pilule de 3ième génération

Déremboursement des pilules de 3ième génération:

Comme je l'ai déjà dis, il faut privilégier les pilules de 2ième génération, qui sont remboursées et qui ont moins de risque de thrombose (vaisseaux qui se bouchent)... Néanmoins, il ne faut pas les exclure des traitements. Chaque médicament a une indication propre... il faut simplement bien respecter l'ordre de la prescrition.

Le rapport de l'agence nationale de la sécurité du médicament et des produits de santé dit :

"Le rapport bénéfice/risque des contraceptifs oraux combinés reste positif quelle que soit leur composition, à condition de respecter les contre-indications et les précautions d’emploi. Néanmoins, afin de minimiser le risque de thrombose lié aux COC, qu’il soit veineux ou artériel, le rapport bénéfice/risque doit être évalué pour chaque patiente. L’ANSM recommande aux prescripteurs :

1 – de privilégier la prescription des COC de deuxième génération contenant du lévonorgestrel. Le surrisque thromboembolique veineux ne justifie pas un arrêt brutal d’un COC dit de 3e génération ou d’un COC contenant de la drospirénone jusque là bien supporté chez une femme utilisatrice depuis une longue période. A l’issue de la prescription en cours, le prescripteur envisagera, avec la femme déjà sous COC dit de 3e génération ou contenant de la drospirénone, la méthode la plus appropriée pour elle (autre contraceptif oral, dispositif intra-utérin,etc.)

2 – de rechercher les facteurs de risque, notamment de thrombose, lors de toute prescription d’un COC à une nouvelle utilisatrice, c’est-à-dire :

a) procéder à un interrogatoire complet sur les antécédents médicaux personnels et familiaux afin d’identifier d’éventuels facteurs de risque, notamment de thrombose veineuse,

b) identifier un tabagisme,

c) effectuer un examen clinique afin de dépister notamment une éventuelle hypertension artérielle,

d) effectuer un bilan lipidique et un dosage de glycémie.

Lorsqu’un facteur de risque de thrombose est identifié à l’occasion de la prescription d’un COC, la prise en compte des contre indications et des précautions d’emploi dans l’évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque peut conduire à proposer un mode de contraception non estroprogestatif. "

3 – d’informer les femmes du risque de thrombose et les alerter quant aux signes cliniques évocateurs qui doivent les amener à consulter rapidement un médecin. , en particulier au cours des périodes où le risque de thrombose est le plus élevé : au cours de la première année de traitement et en cas de changement par un contraceptif oral d’une autre génération.

Quelques chiffres sur le risque de thrombose lié aux COC :Le risque de thrombose veineuse chez les femmes prenant la pilule est rare mais potentiellement grave.

En comparaison aux femmes non utilisatrices de pilule, le sur-risque de thrombose veineuse dépend du type de COC utilisée. Si on traduit ces informations en risque absolu, sur une année, une thrombose veineuse est attendue chez :

- 0,5 à 1 femme pour 10 000 femmes non utilisatrices de pilules ;

- 2 femmes pour 10 000 utilisatrices de COC à base de lévonorgestrel (2e génération) ;

- 3 à 4 femmes pour 10 000 utilisatrices de COC à base de désogestrel ou de gestodène (3egénération) ou à base de drospirénone.

Pour comparaison, on peut rappeler que le risque de thrombose veineuse est de 6 cas pour 10 000 femmes au cours de la grossesse."

 

 

 

 

 

Bonjour,


Je suis actuellement trop occupé par la construction et la promotion du centre médical Famille Enfant Parentalité de l’Estérel (centre FEPE) qui devrait ouvrir pendant l'été 2017 à Saint Raphael.

Ainsi, je ne peux pas actuellement m'occuper du site internet de l'association.
veuillez excuser cette absence transitoire.


Cordialement


Dr Eric Prados

  Luttons ensemble contre le cancer du sein !

 Dr Eric PRADOS

PRESIDENT AFMGOS

Dr PRADOS eric